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Coupable d'avoir été violée

C'est ici dans ce titre que l'on se rend à l'évidence que l'Islam peut être une religion de fanatiques, sous-culturés primaires, arriérés barbares, tristes héritiers des guerriers bédouins du 7è siècle. On atteint ici le summum de l'hypocrisie corrompue, de la perfidie sournoisement machiste, du déni total de réalité. Ces veules policiers ne mériteraient que le pal, et encore à petit feu !! Donc, en 13 chapitres, Meriem nous conte son histoire partie d'un bisou avec Ahmed dans une voiture qui tourne au cauchemar pour dénoncer ces hommes (Aymen, Madhi...) qui l'ont violé la traînant d'hôpital en hôpital, de commissariat en commissariat: mais la machine judiciaire se fourvoie complètement l'instituant accusée passible de 6 mois de prison soutiens multiples et le désespoir inhérent face au juge et défilement coupable des témoins. Cela devient même une affaire d'état avec les excuses officielles du président Marzouki, suite aux déclaration de la ministre française Nalaj Vallaud-Belkacem et d'une mobilisation de ses avocats dont la célèbre Nasroui, cela nonobstant l'opprobre maintenue par les islamistes fondamentaux jetant la honte sur elle, éloignant ses amis du fait du déshonneur subi. Même L'auteure vient à regretter le régime Ben Ali, successeur de Bourguiba, car au moins les choses étaient claires et nettes et non pas confusément dévoyées dans cette résurgence d'un islam fanatique, au prosélytisme outrancier, portant atteinte au crédit et à l'économie de son pays. La seule solution pour effacer et laver son drame est de s'exiler. Poignant témoignage sans tricherie d'un fait qui aurait mené ses auteurs directement en prison dans des pays civilisés et qui se retourne contre la victime; vraiment le monde à l'envers. conclusion, il ne fait pas bon être femme dans les pays islamiques car, de libres qu'elles étaient sous la colonisation, elles sont menacées actuellement dans leurs droits les plus élémentaires.

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